Que l’on soit féru de ping-pong ou de tennis de table (attention à ne pas confondre : le premier s’adresse aux individus jouant de manière grossière et désinvolte, pour ne pas dire vulgairement dominicale ; le second, aux individus jouant besogneusement, suivant à la lettre le code d’honneur du pongiste. Par exemple, ces gens communiquent uniquement en morse, en produisant des « cloc-clac-cloc-clac » avec la bouche), la pratique en solitaire atteint rapidement ses limites.